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Commele précise l’ article 61 de la Constitution, le Règlement de l’Assemblée nationale doit être conforme à la Constitution. Son contrôle par le Conseil constitutionnel est obligatoire. Seuls les députés ont le pouvoir de l’adopter ou le modifier. Le Règlement est adopté ou modifié par le vote d'une résolution. Sujet: [PC] Etre seul dans une session publique. Répondre. Nouveau sujet Liste des sujets. Actualiser . 1. Ezkiiel27 MP. 01 janvier 2017 à 23:15:00. Salut à tous et bonne année !! Non l’EHESP (école des hautes études en santé publique) forme au métier de directeur d’hôpital durant 2 ans et propose des stages d’immersion dans les différents établissements de santé, aussi bien dans les services administratifs que dans les services de soins. Une fois son diplôme obtenu, un directeur d’hôpital peut exercer directement ses Danscet article, nous vous expliquons comment ouvrir des sessions privées pour vous et vos amis dans la version PC de GTA Online, ce à quoi vous devez faire attention et les caractéristiques des sessions publiques dont vous devrez vous passer. Si vous souhaitez jouer seul ou exclusivement avec des amis, vous serez privé de certaines missions ou de certains Guide Etre recruté dans la fonction publique, DGAFP, edition 2015 Guide pratique des on ours administratifs à l’usage des présidents et , DGAPF, décembre 2015 Pour en savoir plus : ou agents publics capables par leurs mérites, leurs talents, leurs capacités et leurs Etre membre de jury membres désignés de re rutés selon d’autres voies d’entrée dans la fon tion pu lique. Etre Top 10 Meilleurs Site De Rencontre. Vous serez automatiquement redirigé vers la page demandée après 3 pas fermer cette page. Patienter 3 secondes pour passer à la page. The page was generated at Mon, 22 Aug 2022 051947 Browser time Le vent de panique provoqué par WannaCry a soulevé de nombreuses questions sur la façon dont les rançongiciels fonctionnent et comment agir/réagir face à eux. Comment arrivent-ils à s’infiltrer dans un système ? Comment agissent-ils une fois dedans ? La série Coup de projecteurs sur les rançongiciels explore les différentes étapes d’une attaque de rançongiciels, cette semaine nous nous penchons sur les modes de chiffrement. Se faire infecter par un rançongiciel est l’un des moyens les plus radicaux de voir tous ses fichiers personnels se faire chiffrer. En outre, l’espoir de les revoir en clair un jour est très faible. Quand un cybercriminel décide de chiffrer des données, sa menace devient tout de suite crédible. En chiffrant vos fichiers, les auteurs malveillants en prennent le contrôle à votre plus grand désarroi. Les modes de chiffrement employés devenant plus sophistiqués chaque jour, les bons samaritains concoctant de savants déchiffreurs ont bien du mal à proposer leur aide gratuitement. Découvrez dans cet article en quoi consiste le chiffrement de fichiers, quels sont les différents modes utilisés par les développeurs de rançongiciels, et pourquoi comprendre le chiffrement est primordial pour ceux désireux d’aider les victimes à récupérer leurs fichiers. Avant de nous plonger au cœur du sujet, si vous ne savez pas exactement comment les rançongiciels s’infiltrent dans un système et leur manière d’opérer une fois infiltrés, commencez par lire ceci. Quelques mots sur la cryptographie et la cryptanalyse La cryptographie du grec écriture cachée ou secrète est la pratique de techniques qui empêchent des tiers, ou le grand public, de lire des messages privés. Elle a recours à des modes de chiffrement pour rendre le texte en clair les données non chiffrées illisible les données chiffrées afin que personne d’autre que le destinataire possédant la clé de déchiffrement ne puisse accéder au contenu du message. La cryptographie a 4 objectifs principaux La confidentialité seul le destinataire prévu peut comprendre le message L’intégrité le message ne peut être modifié sans que la manipulation ne soit détectée La non-répudiation l’expéditeur ne peut nier son intention en créant le message, et L’authentification l’expéditeur et le destinataire peuvent s’assurer qu’ils communiquent bien l’un avec l’autre, et personne d’autre. La cryptographie moderne se trouve au croisement de trois disciplines les mathématiques, l’informatique et l’électrotechnique. Elle possède de vastes applications, notamment dans les domaines liés aux communications militaires, au commerce électronique, aux cartes bancaires et aux mots de passe informatiques. En un mot, elle est utilisée chaque fois qu’il est impératif de sécuriser une communication. La cryptanalyse, c’est-à-dire l’étude des systèmes cryptographiques dans le but de trouver des faiblesses et de récupérer le contenu des messages chiffrés, a évolué parallèlement à la cryptographie. Bien que le mot ait été inventé dans les années 1920, les pratiques de décodage et de déchiffrement remontent au IXe siècle. La cryptanalyse a joué un rôle décisif pendant la seconde guerre mondiale lors du déchiffrement des communications allemandes sécurisées par les machines Enigma, dont autant l’expéditeur du message que son destinataire utilisaient une clé symétrique non chiffrée. Depuis lors, l’émergence et la croissance spectaculaire de la puissance informatique ont permis d’élaborer des modes de chiffrement toujours plus complexes qui ne sont pas seulement utilisées par les entreprises pour sécuriser vos messages électroniques et le trafic Web, mais aussi par les cybercriminels, malheureusement, pour prendre en otage vos fichiers. Modes de chiffrement symétrique et asymétrique Les modes de chiffrement sont devenues incroyablement complexes comparativement aux premières substitutions chiffrées utilisées par Jules César, où les lettres en texte clair étaient simplement remplacées par d’autres lettres, décalées vers l’avant ou l’arrière d’un nombre fixe de positions le long de l’alphabet. Étant donné que la structure du texte en clair est identique à celle du message chiffré, il est facile d’en repérer les motifs en utilisant l’analyse de fréquence, et d’ainsi identifier la fréquence et la séquence dans laquelle les caractères apparaissent. Chiffrement symétrique rapide mais peu sûr Pourtant, le chiffrement ci-dessus est un exemple simple de la façon dont le chiffrement symétrique fonctionne l’expéditeur et le destinataire déplacent tous deux les lettres du même nombre fixe de positions. Ce nombre de positions est ce qu’on appelle la clé ». Il est donc impératif que la clé soit gardée secrète, de sorte que le chiffrement symétrique est souvent appelé chiffrement par clés secrètes ». Il existe deux principaux types de chiffrement symétrique le chiffrement par bloc et le chiffrement de flux Comme son nom l’indique, les chiffrements par blocs fonctionnent en chiffrant par blocs un certain nombre d’octets par le biais de la même clé. Le message lui-même est réparti en plusieurs blocs selon la longueur. Ensuite, des données prévisibles sont ajoutées en fin de bloc pour le compléter, via un processus connu en cryptographie sous le nom de remplissage ou bourrage. Les types de chiffrement par blocs les plus courants sont AES et Blowfish ; le premier est souvent utilisé dans le chiffrement des rançongiciels plus à ce sujet dans l’article. Les chiffrements de flux, d’autre part, chiffrent chaque caractère du texte en clair en une seule fois généralement sous la forme d’un bit, par le biais d’un flux de clés pseudo-aléatoires. Cela signifie qu’une clé différente de flux est utilisée pour chacun des bits. Un opérateur mathématique exclusif ou » XOR, pour abréger combine les deux pour créer le texte chiffré. Citons parmi les types de chiffrements de flux couramment utilisés RC4 et Salsa20. Ces modes de chiffrement symétrique se caractérisent par des exigences de calcul peu élevées. En outre, ils utilisent une seule clé pour le chiffrement et le déchiffrement du message. Ce dernier point soulève une question importante comment communiquer secrètement la clé sans qu’aucune tierce partie n’en ait vent ? Chiffrement asymétrique sûr mais lent Le chiffrement asymétrique, également connu sous le nom de chiffrement à clé publique, est une solution intéressante car il utilise une paire de clés, une publique, l’autre privée. La clé publique peut être distribuée à un large public, tandis que la clé privée est destinée à n’être partagée qu’avec le détenteur de la paire de clés. Les messages chiffrés avec la clé publique ne peuvent être déchiffrés que par la clé privée, tandis que les messages chiffrés avec la clé privée ne peuvent être déchiffrés que par la clé publique. En conséquence, les algorithmes de chiffrement asymétrique vous permettent non seulement de chiffrer et déchiffrer des messages, mais ils permettent également d’authentifier les messages, car seul le détenteur de clé privée est en mesure de créer un message déchiffrable par la clé publique. À l’origine de la majorité des systèmes de chiffrement asymétrique, nous retrouvons habituellement un algorithme reposant sur des calculs informatiques complexes. Les plus utilisés actuellement sont Diffie-Hellman-Merkle, RSA et Elliptic Curve Cryptography. Expliquer le fonctionnement de chacun d’entre eux n’entre pas dans le cadre de cette article. Toutefois, si vous désirez vraiment en savoir davantage et vous plonger dans les entrailles de ces modes de chiffrement, consulter l’article détaillé en anglais sur ArsTechnica. En un mot, le chiffrement asymétrique permet de chiffrer un texte de manière relativement sécurisée sans devoir partager de clé secrète ; cependant, la nature complexe des calculs informatiques nécessaires fait que ce mode ne convient pas aux grands ensembles de données. Étant donné que les deux types de chiffrement ont leurs propres avantages et inconvénients, la plupart des implémentations notamment par les auteurs de rançongiciels utiliseront une combinaison des deux un chiffrement symétrique avec une clé générée aléatoirement, habituellement appelée clé de session, pour chiffrer les messages ou fichiers réels, et un algorithme asymétrique pour chiffrer la clé de session utilisée. INFOBOX Glossaire des termes communément utilisés en cryptologie Message les données que vous souhaitez protéger par chiffrement, il peut s’agir aussi bien d’un texte, c’est-à-dire un message réel, ou d’un fichier Texte en clair message non chiffré Texte chiffré message chiffré Clé composant utilisé par un algorithme de chiffrement pour convertir un texte en clair en un texte chiffré, et vice versa. Chiffrement par bloc chiffrement symétrique par blocs d’octets. Chiffrement de flux utilisation d’un flux de clé pour chiffrer un bit à la fois. Chiffrement par clé symétrique secrète la même clé est utilisée pour le chiffrement et le déchiffrement d’un message. Chiffrement par clé asymétrique publique différentes clés sont utilisées pour le chiffrement et le déchiffrement d’un message. Comment les auteurs de rançongiciels utilisent le chiffrement CryptoLocker Pour voir comment les auteurs de logiciels malveillants utilisent le chiffrement à des fins malveillantes, penchons-nous un instant sur la famille de rançongiciels si prolifique et répandue que son nom, aujourd’hui encore, est étroitement associé à tous les rançongiciels CryptoLocker. CryptoLocker n’était certainement pas le premier rançongiciel à chiffrer des fichiers, cependant il fait définitivement partie de la première famille de ce type à captiver en masse les médias. Il utilise le chiffrement symétrique AES 256 bit pour chiffrer le fichier réel, et un chiffrement asymétrique RSA pour communiquer et sécuriser la clé de session symétrique. Sans surprise, la façon dont CryptoLocker fonctionne est devenue un modèle pour plusieurs autres familles de rançongiciel qui sont apparues plus tard sur le marché, ce qui en fait une étude de cas idéale pour vous montrer comment le chiffrement est utilisé pour verrouiller vos fichiers. Création de communications sécurisées Quand il arrive à pénétrer dans un système, CryptoLocker ne comporte rien de plus qu’une clé publique RSA = asymétrique, utilisée par le rançongiciel pour établir un canal sécurisé sur son serveur de commande et de contrôle. Il gère toute la communication entre lui-même et le serveur de l’auteur des logiciels malveillants via cet canal. L’utilisation du chiffrement par clé publique comporte deux avantages majeurs dans ce cas Tout tierce partie consultant les communications sur le réseau ne pourra pas voir les messages texte en clair échangés entre CryptoLocker et son serveur. Tout ce qu’un analyste en logiciels malveillants verra quand il essaiera de comprendre le protocole en analysant le trafic réseau est beaucoup de charabia.. .chiffré. Plus important cependant, les auteurs de logiciels malveillants ne cachent pas seulement leurs messages à la vue des regards indiscrets, mais ils s’assurent que le serveur auquel le rançongiciel parle appartient également aux auteurs des logiciels malveillants. Gardez à l’esprit que toute clé publique déchiffre uniquement les messages qui ont été chiffrés par la clé privée correspondante, à laquelle n’a accès que l’auteur des logiciels malveillants. En conséquence, le chiffrement des communications par RSA assure non seulement que le secret est bien gardé, mais il garantit également l’authenticité des protagonistes. De cette façon, tout organisme d’application de la loi s’emparant des domaines de commande et de contrôle ne pourra pas simplement prendre le contrôle du logiciel malveillant en lui envoyant ses propres commandes. Chiffrement des fichiers Pendant la communication, CryptoLocker demandera une seconde clé publique RSA à son serveur ,qui sera propre à chaque victime. Il créera ensuite une clé de session AES 256 bits qu’il utilisera pour chiffrer les fichiers de la victime. Comme mentionné précédemment, la cryptographie asymétrique de type RSA ne convient pas au chiffrement de grandes quantités de données car elle est relativement lente par rapport à ses cousines symétriques. L’utilisation d’un algorithme symétrique comme AES pour chiffrer la majeure partie des données utilisateur est donc beaucoup plus efficace. Sécurisation de la clé partagée En dernier lieu, CryptoLocker chiffre la clé AES 256 bits à l’aide de la clé publique RSA asymétrique spécifique à la victime, et la stocke avec les données chiffrées des fichiers. Une fois le processus de chiffrement terminé, le rançongiciel supprimera de sa mémoire la clé de session AES, en s’assurant qu’il n’en reste nulle part aucune trace. Seul le détenteur de la clé privée de la victime, qui a été générée et n’est stockée que sur le serveur de l’auteur de logiciels malveillants, sera capable de déchiffrer la clé de session AES à partir des fichiers chiffrés, et de déchiffrer les fichiers à nouveau une fois que la victime aura payé la rançon. Les rançongiciels tirent le meilleur parti des chiffrements asymétrique et symétrique pour verrouiller les fichiers de la victime en quelques secondes, plutôt qu’en quelques heures. Récupérer ses fichiers sans payer les cybercriminels s’avère pratiquement impossible. Pratiquement… Comprendre le chiffrement permet de mieux affronter les rançongiciels Analyser les chiffrements des rançongiciels est un processus incroyablement complexe. Nous avons à peine abordé le sujet dans cet article, mais cet aperçu assez détaillé de la façon dont les rançongiciels procèdent pour verrouiller vos fichiers vous donnera une idée du travail acharné que notre équipe du laboratoire effectue au quotidien pour essayer de créer des déchiffreurs de rançongiciel permettant d’aider les victimes, et ce gratuitement ! Parfois, nous avons de la chance et certains rançongiciels, comme Harasom n’utilisant que le chiffrement symétrique, masquent » la même clé qu’ils utilisent pour chiffrer tous les fichiers de chaque système dans l’exécutable du rançongiciel lui-même. Que ce serait bien si les auteurs de rançongiciels nous rendaient la tâche aussi facile… Le chiffrement plus complexe de Cryptolocker rend le déchiffrement beaucoup plus difficile, cependant, cela nous a permis de découvrir des failles dans l’implémentation, tout comme les bogues se glissent dans des applications professionnelles légitimes, les rendant exploitables. Prenez CryptoDefense par exemple. Cette famille de rançongiciels lancée après CryptoLocker utilisait quasiment la même approche à cela près au lieu que le serveur génère les clés privée et publique pour la victime, elle générait la paire de clés sur le système de la victime puis l’envoyait à son serveur de commande et de contrôle. Heureusement pour nous, les auteurs de CryptoDefense n’avaient pas correctement lu la documentation de la bibliothèque de chiffrement et avaient sauvegardé accidentellement la paire de clés générée sur le système de la victime. Il fut donc facile de trouver ces clés et de les utiliser pour restaurer les fichiers des victimes. Mieux vaut se protéger… que de devoir tout nettoyer ! Quel que soit le types de logiciels malveillants, mieux vaut se protéger en premier lieu que d’essayer de nettoyer son système suite à une infection. Ceci est encore plus pertinent dans le cas des rançongiciels. Alors n’attendez pas qu’il soit trop tard, et assurez-vous d’être protégé par une solution anti-malware de confiance. Nous vous souhaitons une excellente journée, à l’abri de tout rançongiciel ! Salut à tous et bonne année !! Si vous en avez marre d'être avec des personnes qui vous tue sans arrêt pour aucune raison alors que vous voulez tout simplement jouer tranquillement en faisant votre import/export. Et bien voici comment faire en sorte d'être dans une session publique tout seul ! assez simple et ça fonctionne très bien PS Nous essayons de faire des sessions blanche le concept est expliquer la On s'entraide pour la vente des voitures et toute sortes d’activités qui demande à être plusieurs. Et du coup on est vraiment que entre bonne soirée ! Le contrat de cession de droits d'auteur permet à l'auteur de céder tel ou tel droit sur son œuvre droit de reproduction, de représentation, d'adaptation ou de traduction.En fonction des droits cédés, le contrat de cession peut adopter différentes formes pour répondre au mieux au domaine professionnel de l'auteur. Ainsi, il est possible de répertorier 3 types de contrats de cession de droits d' savoir seuls les droits patrimoniaux peuvent faire l'objet d'une cession de droits d' d'éditionLe contrat d'édition permet à l'auteur d'une œuvre ou à ses ayants droit de céder à un éditeur le droit de fabriquer ou de faire fabriquerdes exemplaires de l'œuvre ou de la réaliser sous forme numérique. Autrement dit, l'auteur cède son droit de contrepartie, l'éditeur doit prendre à sa charge la publication et la diffusion de l' contrat d'édition ne doit pas être confondu avec le contrat à compte d'auteur. Il s'agit d'un contrat par lequel l'auteur ou ses ayants droit verse à l'éditeur une rémunération pour qu'il assure la publication et la diffusion de l' contrat d'édition n'est pas non plus un contrat de compte à demi. Par ce contrat, l'auteur ou ses ayants droit convient de partager les bénéfices et les pertes d'exploitation avec l'éditeur en charge de publier et diffuser l' de représentationLe contrat de représentation permet à l'auteur de l'œuvre ou à ses ayants droit d'autoriser une personne à représenter cette œuvre dans les conditions qu'il détermine. Autrement dit, l'auteur cède son droit de contrat de représentation est fréquent dans le domaine du spectacle. Il octroie au chorégraphe ou au metteur en scène l'autorisation de présenter l'œuvre au existe également le contrat général de représentation. Il s'agit d'un contrat par lequel un organisme professionnel d'auteurs donne à un entrepreneur de spectacles titleContent la possibilité de représenter, pendant la durée du contrat, les œuvres actuelles ou futures constituant le répertoire dudit type de contrat a été conçu pour les catégories d'œuvres ayant vocation à être massivement utilisées, pour lesquelles les auteurs ont recours aux organismes de gestion collective comme la Sacem titleContent, l'Adagp titleContent et la Sacd de production audiovisuelleLe contrat de production audiovisuelle est un contrat conclu entre un ou plusieurs coauteurs et un producteur en vue de la réalisation et l'exploitation d'une œuvre audiovisuelle film, documentaire, reportage, etc..Le producteur est la personne physique ou morale qui prend l'initiative et la responsabilité de la réalisation de l'œuvre. Il prend en charge le financement de l'œuvre et occupe un rôle de direction et de coauteurs, il faut entendre l'auteur du scénario, l'auteur de l'adaptation, l'auteur du texte parlé, l'auteur des compositions musicales avec ou sans parole, etc. Le bastion SSH est un élément courant d’architecture. Souvent présenté comme améliorant la sécurité de votre infrastructure, cela n’est pas la seule raison pour laquelle vous pourriez avoir besoin d’un bastion, sans le savoir. Principes de base Pour se connecter au serveur, il est ici indispensable de passer d’abord par le bastion. Un bastion SSH est une brique d’infrastructure qui permet à une connexion SSH de “rebondir” avant d’atteindre sa cible. Une connexion SSH permet d’ouvrir un Shell via un canal de communication sécurisé sur une machine, le plus souvent distante. Majoritairement présent sous Linux il y a un article d’Arnaud Mazin sur le sujet bien évidemment, il est tout de même possible d’installer un serveur SSH sous Windows, où le protocol RDP sera néanmoins privilégié pour l’accès à distance. Dans ce cas, une Remote Desktop Gateway pourrait correspondre à notre “bastion SSH”. Prenons un cas d’architecture simple, dont l’énoncé est le suivant Un client au sens SSH du terme souhaite se connecter en SSH sur le port 22 via internet, à l’un de ses deux serveurs, en passant par un bastion. Les serveurs autres que le bastion, n’ont pas d’accès à internet. Ce dernier est le seul à avoir une IP publique ici, Les autres IPs, commençant par sont des IPs privées, comme spécifié dans la RFC 1918. Ces IPs ne sont accessibles que depuis le réseau privé, et non depuis l’internet. Dans notre exemple, nous ne nous occuperons pas, dans un premier temps, des autorisations noms d’utilisateur, mots de passe, ou clefs SSH…. Le client initie une connexion SSH sur son bastion, qui est le seul de son réseau privé à autoriser les connexions entrantes sur le port 22 depuis internet. Connexion depuis le client vers le serveur Bastion client> ssh [email protected] Une fois sur le bastion, le client peut se connecter sur le Serveur A ou B, en passant par le port 22, qui est autorisé en provenance du bastion. Connexion depuis le bastion vers le ServeurA bastion> ssh [email protected] Ce cas d’usage étant courant, OpenSSH inclut une option -J pour cela Utilisation de la directive "ProxyJump" en ligne de commande client> ssh -J [email protected] [email protected] Concernant ProxyJump Cette directive n’est disponible qu’à partir d’OpenSSH sorti en août 2016. D’autres moyens de se connecter sont décrits plus loin dans l’article pour les anciennes versions. Pour rebondir sur plusieurs serveurs, vous pouvez les spécifier en les séparant par des virgules client> ssh -J [email protected],[email protected] [email protected] Et avec l’authentification ? Nous avons désormais vu rapidement le principe d’un bastion. Nous allons aller un peu plus loin, en étudiant le problème de l’authentification. Nous n’aborderons cependant pas les notions de clefs SSH privées et publiques, que vous pouvez découvrir dans cet article. Partons désormais du principe que l’accès à nos serveurs est protégé par des clefs. Viennent alors plusieurs solutions stocker les clefs privées sur le bastion, utiliser l’agent ssh, ou initier toutes les connexions depuis le client. A la copie de clefs privées, nous préférerons utiliser l’agent ssh. Ainsi nous évitons les problématiques liées à la gestion de déploiement de clefs privées en gardant nos secrets sur les postes administrateurs qui accèdent au bastion, et non directement sur celui-ci qui est exposé aux dangers d’internet. Initialisation des variables d’environnement eval $ssh-agent -s Ajout des clefs à votre agent SSH ssh-add -c ~/.ssh/my_private_key Vous pouvez désormais utiliser le Agent Forwarding, qui vous permettra d’utiliser votre agent SSH local depuis votre session distante, et ainsi utiliser vos clefs privées sans les copier sur le bastion. Mais cela peut créer une potentielle faille de sécurité les utilisateurs ayant les droits suffisants sur le serveur par exemple, root pourront avoir accès à votre agent ssh, et donc utiliser vos clefs à votre insu, le temps de la session. Spécifier l’option “-c” lors de l’ajout de la clef à votre agent permet de limiter le risque, en vous demandant confirmation avant chaque utilisation de la clef. Utilisation de l’option "AgentForwarding" en spécifiant le flag "-A" client> ssh -A [email protected] Vous pouvez désormais vous connecter sur le serveur cible les clefs dans le SSH agent de votre client local seront utilisées. bastion> ssh [email protected] Bien évidemment, cela nécessite d’ajouter vos clefs publiques sur toutes les machines cibles. Pour vous faciliter la vie, vous pouvez formaliser ces méthodes de connexion dans un fichier de configuration celui par défaut ~/.ssh/config ou bien un fichier qui vous spécifierez explicitement comme ceci client> ssh -F $FICHIER_DE_CONF_SSH Pour notre exemple, cela donnera le fichier suivant Host bastion Hostname IdentityFile ~/.ssh/myPrivateKey User user Host serveurA ProxyJump bastion Hostname IdentityFile ~/.ssh/myPrivateKey User user Vous pourrez ainsi vous connecter directement à vos machines, sans spécifier la mécanique derrière, comme suit client > ssh serveurA En utilisant ProxyJump, vous n’effectuez pas de connexion depuis le bastion, car toutes vos connexions sont initiées directement depuis le client. Notez que lors de l’utilisation du ProxyJump ou du ProxyCommand les clefs dans l’agent SSH sont testées pour la connexion. L’agent SSH a un usage plus général que le forwarding les connexions initiées depuis un client iront utiliser les clefs présentes dans l’agent. Attention à ne pas dépasser la limite de tentative de clefs MaxAuthTries à cause d’un ssh-agent trop rempli ! Par défaut, l’agent n’est pas transféré “AgentForwarding no”, “pour des raisons évidentes de sécurité”. Ce n’était pas mieux avant ; c’était différent Comme nous l’avons évoqué précédemment, “ProxyJump” n’est apparu que récemment. Si votre version d’OpenSSH est supérieure à la mais inférieure à vous pouvez toujours utiliser “ProxyCommand” avec l’option “-W” que nous détaillons plus bas, comme ceci Sans ssh-agent client> ssh -o ProxyCommand="ssh -W %h%p [email protected] -i ~/.ssh/myPrivateKey" [email protected] -i ~/.ssh/myPrivateKey Avec la clef dans le ssh-agent client> ssh -o ProxyCommand="ssh -W %h%p [email protected]" [email protected] ProxyCommand permet de spécifier à SSH la commande à utiliser comme canal de transport qui servira pour sa connexion à la cible. En temps normal, TCP utilise une socket réseau pour ses entrées / sorties. Ici, les I/Os seront le standard input stdin et standard output stdout de la commande. L’option “-W” permet d’utiliser le netcat mode, et ainsi utiliser une version de netcat directement incorporée dans OpenSSH comme commande de proxy. Les variables %h et %p sont rendues accessibles par ssh et référencent respectivement l’hôte et le port par défaut, 22 cible. Et si nous souhaitons simplifier nos commandes, notre ~/.ssh/config ressemblera à cela Host bastion Hostname User root Host serveurA Hostname User root ProxyCommand ssh -W %h%p bastion Attention si vous utilisez un fichier de configuration spécifié via le flag “-F”, vous devrez répéter ce flag dans vos commandes, par exemple Host serveurA ... ProxyCommand ssh -W %h%p -F ssh_config bastion Et si votre version de OpenSSH est inférieure à la vous pouvez éliminer ce serveur par le feu… Ou bien utiliser explicitement le binaire nc netcat, qui doit alors être installé Exemple avec la clef dans le ssh-agent client> ssh -o ProxyCommand="ssh [email protected] nc %h %p" [email protected] Un bastion, pour quoi faire ? Maintenant que nous avons compris comment ça marche, peut-être est-il temps de se demander si on en a vraiment besoin. Prenons le cas d’architecture suivant Le load-balancer, en frontal, est le seul à avoir une IP publique. Il transfert les requêtes qu’il reçoit indifféremment à l’un des deux serveurs applicatifs du réseau privé, qui utilisent une même base de donnée. Mais il est alors impossible d’accéder à nos serveurs pour y faire des tâches d’administration, ou des déploiements, en SSH. Une solution serait d’attribuer une IP publique à chacune de nos machines. Mais une IP publique, cela coûte de l’argent. De plus, nos machines ne sont actuellement pas “visibles” depuis internet, et non accessibles. Et nous voulons garder cet état ! Ajoutons donc un bastion Ici, seul le bastion en plus du load-balancer possède une IP publique. Au lieu de trois supplémentaires, nous n’en avons utilisée qu’une seule. En plus de réduire les coûts, cela contribue à combattre la pénurie d’adresses IPv4. Le principe d’un bastion peut facilement se comparer à celui, plus historique, du “réseau d’administration”. Ce réseau est en place uniquement pour l’administration, comme son nom l’indique, et ne porte pas de service. KISS and tricks Notre bastion ne doit, d’ailleurs, pas porter de service. Cela permet de l’éteindre, ou de couper l’accès avec des règles firewall ou des Security Group Rules sur un cloud provider, sans affecter le service rendu. Une fois éteint, le réseau d’administration ne sera plus accessible, et donc votre application sera moins vulnérable aux attaques. On ne pourra plus rentrer sur votre réseau que via le ou les ports ouverts sur le Load-Balancer, taillé pour affronter les attaques venant d’Internet. Vous pouvez également profiter de ce point d’entrée unique pour appliquer une politique plus stricte de durcissement. Cet hôte n’hébergeant pas de service, cela ne devrait donc pas l’affecter ciphers plus modernes, port-knocking, fail2ban, … Il pourra également adopter des politiques de mises à jour plus agressives, n’ayant pas peur de rebooter pendant quelques minutes, le temps de les appliquer vous n’aurez plus accès à votre bastion. Mais votre service, lui, continuera à être rendu. Nous avons par ailleurs présenté une architecture avec un seul bastion. Notez que cet élément peut tout à fait être redondé. J’aime pô ça, c’pô bon Alors, pourquoi s’en passer ? Faisons un petit tour d’horizon de ce qui pourrait déplaire dans un bastion. Effectivement, cela ajoute des machines de plus à gérer. De plus, vous devez désormais diffuser de la configuration pour vous connecter en SSH à vos serveurs, via les fichiers de configuration SSH vus plus haut. D’aucun pourrait argumenter également que cela n’apporte pas beaucoup plus de sécurité que d’interdire l’accès à vos VMs directement via des règles firewall. Néanmoins, cela ne retirera pas les avantages fondamentaux d’un bastion la simplicité et le faible coût de mise en place ; l’économie d’IPs publiques ; le non accès de vos machines depuis Internet quoi qu’il arrive ; la possibilité d’éteindre votre “réseau d’administration” lorsque vous ne vous en servez pas. Sources

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